Nous ne dirons rien de leur élections truquées.

Nous ne dirons rien de leur élections truquées.

Le meilleur point de départ pour défendre sa liberté de pensée dans cette période trouble est l’abstention. Une abstention consciente, non pas j’menfoutiste mais consciente quand dans ce système les urnes font partie du problème. Que les urnes sont un des modes de domination pour donner l’illusion d’une fausse liberté, en vue de mieux nous faire taire.

Ici devrait commencer, tel un tract, une critique des élections européennes, des partis majoritaires, puis des élections législatives.

Mais le ridicule, le mensonge et la bassesse où en est arrivé le système capitaliste pseudo-démocratique ne permet pas une analyse sérieuse de ces élections sans tomber dans ce show-business tragi-comique du Pouvoir.

Comprenez bien, si vous avez atterri sur cet article par choix ou par hasard, c’est qu’il vous reste encore un minimum de conscience face au Spectacle permanent qui ne vise qu’à endoctriner la population par le biais médiatique. Vouloir faire une analyse sérieuse voudrait dire participer à la propagande du régime actuel. Vous viendrait t-il à l’idée de prendre votre ton le plus grave, faire appel à un débat entre Aristote et Spinoza en regardant « Very bad Trip » ou « Bienvenue chez les Cht’is »? Seriez vous prêt à en découdre avec Christian Clavier car la « Phénoménologie de l’Esprit » de Hegel prouve la nullité du personnage de Jacquouille ? Faudrait-il faire une thèse de 500 pages contre le christianisme de Saint Augustin et de Saint Thomas d’Aquin alors que devant nous,nous avons à faire au « Curé de Camaret » et à la ” Chanson du Père Dupanloup” ?

Le pathétique atteint par les politiciens ne peut produire que nausées et vomissements chez quiconque a encore une vision de ce que pourrait être un monde plus juste.

TOUS ne sont que des agents du Capital, chacun avec ces petites nuances, mais les dés sont déjà jetés.

Le Capitalisme est en mutation, ces politicards de l’extrême gauche à l’extrême droite ne sont que des petites rouages du rouleau compresseur qui avance suivant son chemin, et qui, désolé de spoiler, ne nous promet rien de bon.

Alors si vous devez vous faire une opinion, faire un réel choix dans vos idées, le dilemme est simple :

Participer à tel ou tel chemin du rouleau compresseur ? Ou participer à la destruction du rouleau compresseur ? Si vous optez pour cette seconde option, vous êtes déjà en bonne partie pour l’Anarchisme.

T.

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