Macron le charlot et les généraux séniles
Y a t’il plus pathétique, plus ridicule qu’une bande d’officiers la larme aux yeux attendant une médaille ? Difficile à trouver. Cela existe, c’est les pauvres bougres pro-Armée, valorisant tout un panel de bêtises en verts kakis, disons le : les soumis à la propagande militariste .
L’apologie de l’Armée n’a jamais été du côté des classes populaires et toujours au service de la grande Bourgeoisie.
Nous ne défendons pas ici le pacifisme bêlant, il y a des situations historiques où ne rien faire est une capitulation. Réclamant un monde meilleur, plus juste et voulant le plus de Liberté possible, nous savons que la Révolution n’est pas un jeu d’enfant. A noter que ceci part du peuple et non de dirigeants corrompus.
Ici , cela n’a rien avoir, il y a un Macron prêt à attaquer . Prêt aussi à nous saigner socialement et économiquement pour faire son Nabot-Léon. Le tyran ordurier Napoléon avait au moins le courage de faire la stratégie lui-même et de participer au bataille.
Que promet Macron ? Une économie de guerre, des réformes dont l’injustice sociale n’a d’égale que l’incompréhension de ses victimes.
Et l’Armée actuelle qu’est ce donc si ce n’est l’école des assassins et de la soumission à l’Autorité ?
Paraphrasons un communard « notre antimilitarisme vient que nous voyons très bien que l’Armée est du coté du gouvernements et des patrons, jamais du coté des manifestants »
Évidemment nous ne jetterons pas la pierre aux pauvres jeunes nourrit aux fantasmes de la propagande militariste . Jeune, plein de rêves et rempli d’énergie, il est facile pour la machine de la Mort de leur promettent une importance héroique. Ils se voient sauveur et finissent serviteur décédés pour les intêrets des milliardaires. Dresser à croire qu’ils sont des surhommes, il se rendent compte, trop tard, en découvrant le corps des copains mutilés, qu’ils ne sont que des hommes et des femmes participant à un jeu politique qui les dépassent et qu’ils ont moins de valeur que les actions des multinationales. Ils se croyaient héros du bien, ils ne furent que les pions des salopards. En sachant aussi qu’il n’y a rien de glorieux et tout de honteux à torturer à 4 contre un, un type attaché. A partir de là le soldat n’est plus un humain mais une créature du pouvoir.
Les généraux décident qui sacrifier sur le champs de bataille et meurt vieux dans leur lit.
Et ici, il y a un choix à faire pour la jeune recrue avant d’être totalement endoctrinée comme pour tout hommes et femmes du peuple : soit la grandiose révolte face aux injustices et aux dominations, soit la soumission aux créatures du Capitalisme et de la Mort.
Ce pose une dernière question est si nous étions « envahi », si nous étions réellement en danger ?
Nous répondrons avec le poète Benjamin Péret :
« La vrai résistance est toujours révolutionnaire, jamais nationaliste »
T.